Tuesday, December 16, 2025

7 A

Pas fini Chapitre 7

C'est une transition magnifique mais quel prix allais- je payer?

 C'est un saut identitaire immense. C'est le moment où l'on doit apprendre à exister pour soi-même, et non plus à travers le regard des passagers ou l'uniforme du monde entier. Yout ça étaiy bel.et bien fini.

Maintenant je devais faire face a ce perpetuel questionnaire qui roulait dans ma tete comme un etre pris dans une cage à hamster.

Aurais je assez d argent

Que vais je faire 

Comment vais- je arriver 

Je n en pouvais plus.

Heureusement mon jardin me gardais un peu sur terre sans rien penser quand les moments accalmies se presentaient sinon je m asseyais sous le balcon  à l'ombre à clouer des planches, à regarder ma roseraie ou en m' évadant à l 'écriture d'une chanson et je la faisait jouer 100 x par jour en dansant en bikini et en mangeant des concombres pour me faire maigrir. Ma nouvelle diète fonctionnait à merveille mkni concombre creme sure et yaoourt un peu d hukle de piment forts et de citron, les exercices m avais redonné de l 'énergie à revendre. Je me sentais revivre petit à petit.

A chaque fois, que je mettais une nouvelle chanson, je voyais ce nouveau gars toujours poli avec un petit mot doux apparaitre sur ma.page.

Ce n'éttait pas un fake chanteur vedette ou quoique ce soit comme le faux Crist de Cold Play.


Il avait l'air d'un vrai gars et j' aimais bien son chapeau de safari ça me faisait rêver que j'allais bel et bien aller refaire un safari.

Oui c'était ça mon nouveau voyage bref le mec était toujours là , à aimer mes chansons puis demanda par message tiktok si je voulais bien l'accepter.


Ce n'était pas moi qui avait courru après comme abec Bon Jovi mais je me disais que je devais peut etre ou  changer mon fusil d'épaule et que je cesse de rever de mon coup de foudre de Bon Jovi pour quelqu un peut etre de plus accessible moins vedette plus normal qui sait.

Mais bon j avais mis plus de 6 jours avant de lui répondre.





PRENDRE SON ENVOL

​Le moment était venu. Il fallait que je sorte de ma forteresse, de ce chez-moi qui était devenu à la fois mon refuge et ma prison.

 Mais l’idée de ce tout premier voyage seule me terrifiait.

Oui, j adorais jouer à l hermkte mais cette foutu retraite vebait tout foutre en l air.

J avajs besoj. D eme lrouver que j etais encore capabke de faire ce que je faisais avant 

ou qur je serais en ore caoabke de fonctionner de voyage de vivre 

​Moi, l'ancienne agente de bord, celle qui avait passé sa vie à défiler dans les allées d'avion, sexy et impeccable, je me voyais maintenant comme une « vieille sacoche » retraitée. Je ne travaillais plus, je n'avais plus d'uniforme pour me donner une contenance, plus de rôle à jouer. je m'étais accrochée a cette identité oendant plus de 30 ans.


Ma plus grande crainte ? Croiser d'anciens collègues. J'avais peur de lire dans leurs yeux le reflet de ce que j'imaginais être : une femme qui a perdu son éclat, une ombre de celle que j'étais autrefois au service des autres.

​Pourtant, la réalité me frappait : après tant d'années de service, de travail acharné et de sourires polis, n'avais-je pas mérité une petite vacance ? N'étais-je pas due pour profiter, enfin, sans devoir servir un café ou vérifier une ceinture de sécurité ?

​Il me fallait retrouver le courage. Pas celui de l'agente qui affronte les turbulences, mais celui d'une femme de 66 ans qui décide que sa vie ne s'arrête pas parce que son plan de carrière est terminé. Je devais sortir de chez moi, non pas pour fuir les faux Bon Jovi, mais pour aller à la rencontre de la seule personne qui comptait vraiment : moi-même.



​Le voyage ne serait pas seulement une destination sur une carte, mais une reconquête de ma dignité. J'allais troquer l'uniforme pour la liberté, même si mes jambes tremblaient un peu en bouclant ma valise. l'image glorieuse du passé et la peur du présent me faisait manquer d oxygene.

ÇA  MÉTOUFFAIT

JE DEVAIS LE FAIRE MAINTENANT OU JAMAIS



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